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29/08/2018
Le succès du littoral ne se dément pas. Le marché de l’immobilier ancien reste orienté à la hausse dans presque toutes les villes balnéaires, d’après la dernière note de conjoncture des notaires de France. Le phénomène concerne autant les appartements que les maisons, rapporte Les Echos
La Bretagne a enregistré « un volume de transactions jamais atteint » en 2017. Les prix médians ont flambé entre le 1er avril 2017 et le 31 mars 2018, pour les appartements (+4,1%) comme pour les maisons (+1,8%). Les maisons anciennes ont ainsi augmenté de +14,9% à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), de +11,8% à Concarneau (Finistère) et de +12,5 % à Plérin (Côtes-d’Armor). Les plus fortes hausses concernent toutefois la façade atlantique sud.
Dans le secteur des maisons anciennes, le prix médian a augmenté de +22,6% à Saint-Pierre d’Oléron ou encore de +16,7% à Royan (Charente-Maritime). La hausse atteint même +17,2% au Lège-Cap-Ferret (Gironde), où le prix médian d’une maison ancienne s’affiche à 675 000 euros. C’est plus cher que sur la Côte d’Azur, avec 559 000 euros à Antibes (Alpes-Maritimes), 477 500 euros à Saint-Raphaël (Var) ou encore 427 000 euros à La Ciotat (Bouches-du-Rhône).
Cet écart révèle le succès des « destinations privilégiées par la clientèle haut-de-gamme », d’après le réseau Barnes spécialisé dans l’immobilier de luxe. Les acheteurs fortunés privilégient quelques destinations pour acheter leurs résidences secondaires, à savoir le bassin d’Arcachon (prix moyen 1,5 million d’euros), l’île de Ré (1,25 million d’euros), la côte basque (1,2 million) et la Baule (1 million) indique Barnes dans une récente étude.
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© Les Furets.com - publié sur Barnes International le 29/08/2018
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