Immobilier & Art de Vivre
18/12/2020
Dans un contexte de crise sanitaire et de développement du télétravail, de nouveaux usages de l'immobilier se développent. Le concept de résidence semi-principale fait son chemin. Quels sont les chiffres ? Est-ce une tendance durable ?
Le journal Les Echos fait le point sur un modèle en plein essor en s'appuyant notamment sur notre Etude BARNES paru début décembre sur « Les nouveaux modes de vie immobiliers ».
L'année 2020 aura rebattu les cartes de l'immobilier en général et des résidences secondaires en particulier. Avec la crise sanitaire due au coronavirus et les deux confinements qui en ont découlé, les résidences secondaires ont redoublé d'intérêt. Auprès de ceux qui ont pu s'y réfugier ou aux yeux de ceux qui en ont rêvé, enfermés dans leur appartement en milieu urbain.
Les enseignements de cette étude ainsi que différents témoignages de notaires et agents immobiliers décrivent et mettent en avant l'émergence de cette nouvelle tendance de résidence semi-principale.
Le développement du télétravail, cette envie d'espace et d'extérieur mais aussi la crise sanitaire tendent à repenser sa façon de vivre. « Cette réorganisation devrait passer par un accroissement du temps passé chaque année dans leur résidence secondaire [souhaité par 89% des sondés], qu'ils se verraient volontiers transformer en résidence semi-principale [72% y sont favorables] », explique Thibault de Saint Vincent, président de BARNES.
A quoi ressemblent ces nouvelles résidences semi-secondaires ?
Du point de vue de la taille, de la localisation et du prix, quel type de résidences semi-secondaires est le plus recherché ?
Découvrez les réponses dans l'article complet.
© Les Echos - publié sur Barnes International le 18/12/2020
Retrouvez cet article dans son intégralité en cliquant sur le lien suivant :
https://www.lesechos.fr/patrim...
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